DIKRAN KEVORKAN (Directuer de l'Eglise Arménienne de Kandilli)
Le 7 Octobre 2000 Dikran Kevorkan Président de l'Eglise Arménienne de Kandilli qui a participé au programme télévisé appelé "Ceviz Kabuðu" qui a donné place aux opinions concernant le Soi-disant Projet de Loi conernant le Génocide Arménien et il a précisé que :
" Génocide et Ýnstaller ailleurs (déplacement d'un lieu pour un autre lieu) signifient des choses différents. Les jeux des impérialistes, des rêves apolitique des leaders d'Administration Arménienne (la presse, les églises, les hommes religieux) ont été la cause des tous ces événements. Le patriarche est un leader religieux, en c'est faux de lui demander ses idées sur les sujets politiques. Si les pouvoirs imperialistes n'étaient pas dérrière d'ASALA et du PKK qu'auraient ils pu faire ?
En ce qui concerne le probléme de la réinstallation, L2Allemagne qui faisdit pression sur Ýstanbul avait lr but d'ébrauler le systéme Ottoman et avait ses intéréts économiques sur le sujet le chemin de fer de Bagdat
Concernant le sujet d'assimilation je peu dire qu'aujourd'hui le seul pays où les Arméniens vivent tranquilite et où ils protègent leur identité le plus alsément c'est la Turquie. Les Arméniens qui vivent à l'étranger entrent en lutte en changeant de nom, Parce que là bas il y a l'éffondrement de culture par la culture qui est en puissance.
Les Arméniens de Diaspora savent très bien que dans certaines églises des Etats-Unis d'Amérique les messes de sacrifices de dimanche se font en anglais, que les Arméniens perdent leur langue matérnelle. Quant vous dites cela c'est vous qui devenez personne maudite. C'est pour cela que, nous les Arméniens qui vivent en Turquie, nous mettons à jour notre tristesse. Pourquoi ? Parce qu'une injustice est faite à l'âme de Kuvay-i Milliye que nous a laissé Atatürk. Toutes ces choses-la sont les jeux des personnes de l'éxtérieure. Dans ce décret, dans tous ces événements se sont les jeux d'ASALA, de PKK et des autres personnes d'éxtérieure. Nous en tant que les citoyens qui vivent en Turquie nous pensons qu'ils sont entrain de faire une injustice. Si les Arméniens sont intélligents ils ne devraient pas se faire utiliser dans ces jeux."
II. MESROB (LE PATRIARCHE ARMENIEN )
Dans un programme télévisé diffusé par CNN-Turc en Octobre 2000 dont a participé le Patriarche Arménien le II. Mesrob, un téléspéctateur nommé Henika Kireitçi a posé la question suivante : " Moi, c'est-à-dire la minorité qui vie en Turquie, que vais-je devenir ?" Le Patriarche a répondu de la façon suivante :
MESROB II - Moi aussi, en réalité quant je demande l'opinion aux membres de l'église qui vivent à Ýstanbul je ressens une inquiétude ; mais si vous permettez je désire ici dire une chose aux membres de l'église et à tous les Arméniens qui vivent en Turquie ; il n'y a aucune raison pour avoir une inquiétude. S'il vous plait, veuillez croire au bon sens des citoyens qui vivent en Turquie et spécialement à l'Etat, et surtout ne ressentez pas une faiblesse en vous même. Parce que vous n'avez en aucune façon rapport avec ce décret ou bien les autres événements semblables.
II. MESROB (LE PATRIARCHE ARMENIEN )
Le Patriarche Arménien le II. Mesrob qui a présidé la cérémonie de matin présenté par Surp Badarak à l'église Surp Krikor Lusavoric de Kýnalý le 22 Août, dans son sermon, en résumée il a dit cela :
LA PREMIERE PARTIE DU SERMON
A Jérusalem il y avait un bassin appelé Siloam. Dans le temps de Rab Hisus, les
citadins disaient que de temps en temps d'un seul l'eau de ce bassin s'agitait. Ils croyaient que les personnes qui sont arrivés à se redrésser et qui sont arrivés à sauter dans l'eau au moment où elle s'agitait guérissaient. Des centaines de maladestennaient garde devant ce bassin avec croyance et ils priaient. Une fois l'une des colonnes s'est effondrée. Entre les personnes qui attendaient là 18 personnes sont mort d'une façon terrible. Cet événement est dans le 13. chapitre de la Bible de Loth.
Maître Hisus en rappelant ce catastrophe à ses étudiants il leur a demandé si ces 18 fidèles membres de leur communauté religieuses étaient plus pécheurs que les autres fidèles. Par la suite, n'ayant pas obtenu de réponse il a répondu "Non!" . Parce que les les personnes ne meurs pas seulement à cause de leurs propres fautes et de leurs péché mais aussi à cause de beaucoup plus d'autres raisons. Le vrai problème c'est que : soit par cataclysme ou par autre raison que se soit, les personnes doivent être prêtes pour le moment critique entre la vie et la mort, il faut éssayer de ne pas être prit non préparé à ce moment. Le plus grand catastrophe que vous puissiez rencontrer dans la vie spiturelle c'est la cas de rester sans la royauté de Dieu. Si l'on veut ressentir la procheté et le sentiment paternel de Dieu, il faut se réconcillier à Dieu en renoncer serment. Cela constitut les points importants tant de Surp Hovhannes Migridic, tant que les serments de la Bible de Maitre Hisus : "Renoncer serment, parce que cela est proche de Dieu."
Depuis six jours nous sommes sous l'influence du séisme dont le centre est Ýzmit. A côté des valeurs matériaux et moraux, et avant cela, est-il impossible de resister à la douleur des plus de vingt milles morts. Cependant il était bien su que ce séisme allait se produire. C'est la nature de l'homme, jusqu'à ce que ce moment vienne, on dirait que l'on ne veut pas comprendre combien il a été trop tard pour prendre les précautions. Je vous demande si la conscience des contractants seignent ?, Bien sûr je dis cela pour ce qui l'on a fait. Et les administrateurs qui travaillent comme un film au ralenti? D'un autre côté est-il possible d'ignaurer les ciyoyens grecques qui ont participé non seulement par leur argent mais aussi avec leur sang, les autorités Ýsraéliennes qui donne de l'importance à ses compatriotes et à ses citoyens qui vivent en dehors de leur térritoire ?
L'humanité vient avant la dévotion. Surp Hagop percise que, personnes qui n'aiment pas l'humanité ne peut pas aimer Dieu qui est une âme et qui n'est pas visuel. Dans des catastrophes naturelles comme ceci, les personnes qui observent des différences entre les religions, les langues, les races sont des midérables. Maitre Hisus, comme il nous a appris dans le problème de Samiriyeli, même si les personnes sont de différentes religions et groupes ethnique, ils sont les enfants du Père du Ciel et ils sont tous frères. L'humain doit avoir le vertu de donner de l'aide à ses voisins et à ses frères sans attendre quelquechose en revanche. Les personnes qui sont morts lors du séisme de Marmara, les personnes douloureux qui vivent, les personnes qui sont réstés sans maison sont nos frères. Chaque croyant, dans la meusures de ses possibilités, doit faire de l'aide. Rester spéctateur à cette douleur c'est honteux et c'est un très grand péché.
Dans ces jours ci quand les pluies d'automne vont commencer les personnes ressortissantes du séisme vont dormir dehors ils vont attrapper des maladies. Quand nous vivont en sécurité dans nos maisons, que nous mangeons nos trois repas il faut aussi penser à ces personnes qui sont nos frères, il faut donner par de ce Dieu nous a donné. Ça c'est notre première mission.
Notre seconde mission c'est de renouveller les écoles, les églises qui appartiennent à notre communauté religieuse et notre patriciat qui ont subits des dommages, les fortifier et d'être prêt pour un nouveau événement en se mettant la main dans la main.
Mais en faisant cela il ne faut pas oublier la chose la plus importante. C'est que ce séisme doit être une occasion pour nous intérroger, de renouveller notre serment, de nous restructurer au niveau sociale, administrative et morale.
LA SECONDE PARTIE DU SERMON
Quand la nouvelle année scolaire commence à se raprocher, dans la seconde partie de mes paroles je désire parler sur un sujet très important. Notre vie spiriteulle et culturelle est commencé à entrer dans une détérioration. La seule raison de cela le snobisme et vouloir d'être prestigieux. Ýl n'est possible de comprendre la lutte des nouveaux riches pour inscrir leurs enfants dans nouveaux établissements en faisant beaucoup de frais et en s'éloignant des écoles de notre communauté religieuse. Pour montrer qu'ils ont raison ils disent des monsonges concernant la qualité d'enseingnement des écoles appartennant à notre communauté religieuse. Cette année 8 éleves des écoles primaires de notre communauté religieuse ont réussis avec grand succès les examens et ils ont obtenus des points importants pour entrer dans le Collège Robert.
Et cela ne sont-ils pas des exploits pour les taux de réussites ? Les gens qui se trouvent élevés deux cent millions pour notre écoles et qui donnent les deux-trois mlliards pour les nouvelles écoles font le plus grand mal. A cause de leur mal, ils sont privés de leur langues et de leur richesses morales. Dans les jours avenir, quand il vont grandir, soyer sur que les enfants vont accuser leurs propres parents. Leurs voitures ont une marque. L'un peut dire que notre voisin a un tel marque de voiture, le notre doit aussi avoir le même, il y a des altérnatifs pour les voitures ; mais il n'y a pas d'alternatif pour les écoles de notre communauté religieuse. Dans nos écoles nos enfants sont élevés pour être des citoyens Turcs qui consciennent, et en plus qu'ils apprennent la langue et la littérature Arménienne, et les bases de la religion Chrétienne.
Biensr que certaines choses de marches ne sont pas bien dans nos écoles, mais les autres écoles sont-elles parfaites ? Biensr que non, Donc à la place de faire des critiques sans bases fondées et capricieuses, il faut prendre poste activement dans les commissions et les associations des parents-écoles pour pouvoir vaincre ces problèmes. D'une façon démocrtaique il faut changer les administratifs qui ne sont pas correctes ou bien qui ne se renouvellent pas par les nouveaux. Et cela est possible par la participation active et juste des membres de notre communauté religieuse. L'un des résultats directe d'être éloigné de nos écoles c'est que l'ordre de la famille se casse. Au part avant il n'y avait presque pas de divorce, mais dans les dix années précédents le taux de divorces dans notres communauté religieuse a fortement augménté. Les mariages sans cérémonie religieuses et les couples en concubinage sont augmentés et à presque dépassés les 60 %. Nous avons des bienveillants qui donnent des soutients matériaux de plus ils s'interressent de près des dégats de notre communauté religieuse et ils essaient de trouver une solution. Et biensûr il y a des personnes qui font le roi, ils ne font ni d'aide matériaux , ni d'aide contre les problèmes, en revanche s'ils ne sont pas présents dans les tables vides ils font un vacarne infernal.
Et alors si les intéllectuelles et les bienveillants de notre communautés religieuse ne s'interrent pas à ces problèmes, qui va s'intéresser ? En dehors de mes compétances spirituelles et morales je n'ai pas d'autre pouvoir. En tant que votre patriarche la seule chose que je puisse vous dire c'est que je retire ma sanctification sur chaque personne et famille qui éloigne son enfant de notre communauté religieuse, de notre religion, de notre écoles ! Quelle malheur pour les personnes qui sont privées de sanctification de l'église et hauts membres de cette église ! Quelle bonheur d'être dans ce lien d'amour et dans cette union.
Quelle bonheur pour les personnes qui puissent boire de l'eau de la vie d'éternité par l'intermédiaire de notre église divine garnis des coutumes et des moeurs de nos ancêtres ! En bref la chose que je veux vous dire c'est qu'il ne reste quelques semaines pour la nouvelle année scolaire. Protéger nos écoles, donner leur votre soutien, n'éloigner pas vos enfants de nos écoles, encourager nos écoles et nos maîtres et maîtresses, avoir confiance à nos écoles et à nos églises. Même s'ils sont d'autres écoles dépuis quelques années, orrienter les vers nos écoles !
II. MESROB (LE PATRIARCHE ARMENIEN )
Entrevue datée du 22 Mai 1999 du Patriarche Arménien II. mesrob avec Yavuz Baydar reporter du journal Milliyet.
Question - Jusqu'à la Période de Fatih les Arméniens de Constantinople n'avaient pas de Patriarche. Pourquoi ?
II. Mesrob - L'histoire des Arméniens de Constantinople vient de 4ième siècle après Jésus-Christ. Nous savons qu'au 6ième siècle qu'il y avait une église Arménienne dérrière les murs de la ville. Par la suite comme la communauté religieuse orthodoxe Byzantine ne montrait pas d'indulgence pour les autres Chrétiens, les Arméniens pratiquaient leur religion en dehors des murs de la ville. Le Leader spirituel des communautés religieuses Arméniennes de Thrace jusqu'à même Lvov de la région de l'Europe orientale se trouvait à Bursa. L'Empire Byzantin a vu nécessaire un patriarche pour les Armeniens Occidentaux.
* - Jusqu'à la conquète d'Ýstanbul quelle était la situation des communautés religieuses Arméniennes en Anatolie ?
II. Mesrob - L'histoire des Arméniens Chrétiens d'Anatolie commence par l'investissement de missionnaire de Saint Tadeos et de Saint Bartolomeos donné par les spôtres de Jésus-Christ dans les parages occidentaux. En 301 la Royauté Arménienne a accepté le Christianisme comme leur religion officielle. Nous allons féter le 1700 ème anniversiare en 2001. De cette façon en 301 le Patriarche Ecmiyadzin qui est considéré comme le Patriarcat Général des Arménien a été créé. Les Arméniens qui se sont séparés du d'église Grec Ottoman à partir du 6 ème siècle ont constitué leur Patriarcat. En 10 ème siècle le Patriarcat Akdamar dans l'île d'Akdamar de Van est le troisième. Le Patriarcat de Kilikya de Kozan a commencé en 1441. Dans tous les autres parages il y avait des épiscopats Arméniens ou bien des patriarcats généraux appelés "marhasa" en langue Ottomane.
Question - Pour quelle raison Fatih a-t-il donné le brevet de patriarcat à la communauté religieuse Arménienne d'Ýstanbul ?
II. Mesrob - Après la conquête d'istanbul, pour coloniser la ville, Fatih a fait venir à Ýstanbul des Arméniens des différents lieux d'Anatolie. Après avoir été connu comme Patriarche Grec de Gennadios, le fait Saint Joachim soit reconnu comme Partiarche Général de Bursa, il est attribué de penser comme une balance entre les soumis Chrétiens. Il ne faut pas oublier dans les frontières de l'Empire il y avait un grand groupe qui n'acceptait pas la doctrine Orthodoxe Byzantine . En outre, les taxes à payer devaient aussi être ramassé des soumis Arméniens. L'une des raison de Fatih c'est cela.
Question - Dans le temps des Ottomans on voit généralement les Arméniens comme artisans ou bien comme commerçants qui n'ont pas vécu sérieusement des problèmes. A partir du II Mahmut ils s'approchent du palais. La période suivante les reformes avec le firman des arrangements du Peuple Arménien (Nizamname-i Millet-i Ermeniyan fermaný) la communauté religieuse a renforcé une autonomie laïque. Mais en ce temps le détachement dans les térritoires Ottomanes s'augmente. Certains partis politiques Arméniens se révoltent contre l'autorité centrale. Les événements douloureux atteignent le plus au niveau en 1915. Vous que pensez vous de ces débats qui continuent encore aujourd'hui ?
II. Mesrob - Dans cette période, moi j'ai la conviction que les Arméniens étaient à la recherche d'indépendance. Le Patriarcat et la majorité de la communauté religieuse étaient du côté de l'Ottoman. Certaines personnes étaient dérangées des événements de pillages et ils voulaient de la tranquillité. Une petite partie seulement des Tasnaks voulaient leur indépendance.
Dans la panique de cette période, les administrateurs ont fait l'erreur d'attribuer tous les penchants d'une petite minorité dans la minorité. Selon moi le problème c'était que : l'effondrement de l'Ottoman avait commencé, la plus part des pays dépendant de l'Ottoman avaient déclaré leur indépendance. Bien sûr certains pays orientaux ont pris rôle dans cette grande agitation. A cause de telles raisons, les relations entre les Turcs et les Arméniens ont été entrainées vers un milieu de défiance. Dans ces conditions la loi de déplacement est mise en vigueur, et cela a causé le commencement des événements qui sont passés dans l'histoire Arménienne comme "le grand désastre" .
Mais il est faux d'utiliser seulement cette partie des relations Turcs-Arméniens jusqu'à la création de la République Turque pour expliquer toute histoire.
Il faut regarder dans l'histoire à partir du 5 ième siècle. Ýl faut voir que la première imprimerie Arménienne a été crée à Ýstanbul, que les premiers livres en langues Arméniennes ont été publiés là, que le premier théâtre a été constýtué à Ýstanbul dans cette periode. Pour moi le plus important c'est qu'une vie communautaire avec des groupes très différents, de différentes cultures, de différentes refléxions ont vécu sous l'Empire près de 600 ans. Selon moi c'est une chose a fêter.
Question - Le passage à la République a-t-il été douloureux pour votre église ?
II. Mesrob - Bien sûr que oui. Il y avait eu la Première Guerre Mondiale, des déplacements avaient été faits. Cette ruine avait touché toute la population. Dans les cinq premières années de la République, la communauté était dans patriarche. Après que Muslu I Mesrob soit choisi comme partiarche le délai de normalisation a commencé.
Question - Aujourd'hui quelles sont les problèmes de votre communauté religieuse ?
II. Mesrob -Au niveau religieux et spirituel nous n'avons aucun problèmes nous pouvons pratiquer nos devoirs religieux où nous voulons et quand nous désirons. Le plus grand problème c'est le manque de prêtres et de moines. Une école monacale est obligatoire, mais nous voulons le résoudre selon le système universitaire par l'intermédiare de YÖK.
La communauté religieuse a des problèmes de colléctivité. La déclaration de 1936 a des délimitations pour notre fondation qui sont très démodées et qui doivent être renouvellées selon les conditions de notre époque. Comme pour une mosquée si une personne peut faire des dons pour les églises aussi cela devrai être possible. Les établissements donnés par don à l'église à partir de 1936 ont été obligués d'être redistribués en 1970 à ses propriétaires malgré que les titres de propriétés foncières aient été donné. Si leurs propriétaires sont morts l'Etat les a prit. Au plus vite que possible cette application devrai changer.
Question- Que dites-vous pour les débats cocernant la laïcité d'aujourd'hui?
II. Mesrob - Cette condition prend aussi place dans notre communauté religieuse. Le document de 1863 prouve cela. Cette compréhension continue toujours. Moi en tant que patriarche Arménien Turc, je ne suis pas désireux pour être président de cour religieux qui sera chargé de s'occuper des affaires de mariages, de divorces, de problèmes de possession.
En tant que personne né dans la période de la République j'ai la conviction qu'il est impossible de faire demi-tour. Quant nous avançons pas à pas vers l'an 2000, il est drôle de faire des efforts pour retourner au Moyen Age, il est drôle de vouloir diriger selon les règles religieux.
Question - Les célébrations de l'an 2000 attirent l'attention de toute l'humanité, mais pour les Chrétiens cela a beaucoup plus d'importance. Vous comment allez-vous participer aux célébrations du "millénaire" de Turquie ? Selon vous ces célébrations ne sont-elles pas une très grande chance pour la Turquie ? Selon vous la Turquie donne-t-elle suffisament d'importance ?
II. Mesrob - Nous donnons beaucoup d'importance, mais je ne sais pas l'importance que donne les autorités compétentes de l'état. Regardez, en Turquie il y a les trois églises principales d'Anatolie : l'église Arménienne, Grec et Syriaque. Selon mes connaissances, aucun contact n'a été fait avec ces trois églises. Nous, nous sommes prêt pour tout aide, mais si l'on regarde du point de vue de la dernière minute, nous pouvons être en face des obsacles que nous voudrions pas rencontrer. J'ai toujours dit :
Pour les Christianisme si les pays sacrés de première degrée sont Palestine et le Vatican en deuxième degrée c'est l'Anatolie, c'est-à-dire la Turquie. Penser que la moitié des tombes des apôtres de Jésus-Christ sont ici ! Cela a une imporance astronomique pour le tourisme, les relations entre les cultures et les religions. En l'an 2000 il y a un tourisme énorme pour l'Ýsrael. Combien d'entre eux vont venir chez nous ? Nous qui cherchons une solution à la crise du tourisme, nous venons tenir en compte cela aussi. Il faut que la Turquie présente et utilise jusqu'à la dernière limite la structure culturelle, folklorique et religieuse. Cette grande occasion doit être valeurisée.
II. MESROB (LE PATRIARCHE ARMENIEN )
Le Patriarche II. Mesrob qui fait un discours dans l'organisation efféctuée à l'Hôtel Hilton le 22 Mai 1999, voici ce qu'il a dit :
"Nous sommes au début troisième millénaire. Nous nos préparons pour fêter le commencement d'une nouvellle période dans l'histoire de l'humanité. Je pense que cela est une très grande occasion pour tout le monde. L'occasion de désigner le reve de'un avenir avec une union entre les continents, les cultures et les peuples... Un respect pour les droits et les libertés des personnes, un monde de justice et loin de tous violence pour l'humanité est le rêve de nous tous.
Ce point de tournement la n'est seulement pas une occasion unique mais aussi un examen pour tout le monde. Les 2 milléniare passé étaient remplis de tragédies.
Mais il a aussi de nombreux évenements dans le passé que je vais mentionner avec respect et que nous allons fêter avec joie.
Comme nous fêtons aujourd'hui...
La constitution du Patricarcat Arménien d'istanbul est un évenement qui ne va pas se rouneller dans l'histoire avenir.
Huit ans après la conquête d'istanbul par Fatih Sultan Mehmet, en 1461 avec le firman de l'épiscopat Arménien Anatolien d'Occident cela a été transformé au Partiarcat d'Ýstanbul, c'est un exemple clair pour qui montre la vision pour l'avenir et le respec aux religions donné par Fatih et les autres Sultans Ottomans.
Le fait qu'un Souverain membre d'une autre religion donne une fonction de de présidence spirituel pour les membres d'une autre religion n'a pas été vu dans l'histoire ni avant Fatih ni après Fatih.
Dans ces jours ci où nous entrons dans un nouveau millénaire, si nous prennons en compte les milieux de guerre vécu dans notre proche environ, je pense que nous pouvons mieux comprendre la veuleur de l'évenement réalisé 538 ans avant, l'importance de l'indulgence qu'il y avait entre les religions et les cultures.
Je rend mémoir avec amour et respect à Fatih Sultan Mehmet qui organisé la vie des Arméniens qui vivaient dans leur territoire selon les leurs moeurs et leur traditions, les hommes d'etat qui ont rendu service dans la ligne constitué par celui-ci et les 83 partiarches qui rendu service avec fidélité à cette fonction en commencant par Saint Joachim de Bursa qui était le premier Patriarche Arménien d'istanbul en 1461.
Nous les Arméniens de Turquie, en tant que la plus grande communauté religieuse Chrétien vivant dans ce pays, nous avons une grande croyance de tous coeur pour la République Turque dont nous fêtons avec gloire les 75. ans de République et nous regardons avec éspoir pour l'avenir."